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Le projet que je n’aurais jamais osé lancer à 30 ans(et pourquoi je suis enfin prête aujourd’hui)

À 30 ans, on cherche à être légitime. À prouver qu’on sait. Qu’on maîtrise. Qu’on est “sérieuse”.


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Alors l’idée de lancer un projet joyeux, intime, et hors des cases ?Impossible.Trop risqué. Trop flou. Trop "pas corporate".


Et pourtant, c’est précisément ce genre de projet qu’on ose aujourd’hui.


Un projet qui parle de réinvention. De ces moments où la vie secoue — burn-out, départ, vide, révélation. De ce qu’on fait après.

Quand on choisit enfin d’écouter ce qui nous fait du bien.


À 30 ans, on brille sur le papier.


À 45, on est vraie.


Quand Marina* a lancé son premier projet en solo — un cabinet de coaching en leadership sur-mesure — elle ne cherchait pas à être validée.Elle cherchait du sens.


« J’ai passé des années à concrétiser la vision des autres . Je n’avais jamais envisagé que je pouvais construire quelque chose pour moi. Pas parce que je n’en étais pas capable — mais parce que je ne pensais pas en avoir le droit. »


Marina plus jeune aurait attendu qu’on lui donne la permission. Marina d’aujourd’hui se l’est accordée.


C’est un schéma qu’on retrouve souvent chez GWF :Des femmes qui ont déjà fait leurs preuves —et qui osent aujourd’hui créer quelque chose de totalement nouveau.

Pas pour impressionner.Pas pour fuir.

Mais pour, enfin, faire un travail qui leur ressemble vraiment.


Parfois, c’est le deuxième chapitre qui aurait dû être le premier.


GWF, c’est pour celles qui écrivent la suite.Une suite plus libre, plus honnête, et franchement plus fun.

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