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Pourquoi on parle d’échec — et pas seulement de la version "jolie"

On connaît la version Instagram de l’échec.Celle qui arrive après le rebond. Celle qu’on raconte avec du recul, un sourire et un hashtag #lessonlearned.


Mais ce n’est pas toujours comme ça que ça se vit.

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Parce que parfois, l’échec n’est pas “utile”. Il est juste douloureux.

Ceux qu’on ne sait pas encore transformer en pitch.

Parce qu’il y a des erreurs qu’on garde pour soi, trop longtemps.


Et qu’on a besoin d’un endroit où on peut les poser, sans devoir les transformer en success story.


Parler d’échec, vraiment, c’est :


– sortir du mythe de la résilience instantanée

– créer de l’espace pour ce qui est encore flou, fragile, en cours

– se sentir moins seule quand tout ne se passe pas “comme prévu”


Chez GWF, on ne pense pas que l’échec soit une étape obligatoire.Mais on sait qu’il fait partie du chemin.

Parce que c’est aussi lui qui façonne les chapitres les plus vrais.

Et surtout : qu’on mérite d’en parler, même si ce n’est pas encore derrière nous.


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